Soeur Marie Keyrouz, surnommée  “la voix universlle de l’âme”, “la Ferveur du Chant Sacré” , “la Voix de l'Extase”, “le Frisson mystique”… , nous propose par ce Magnificat une composition et une interprétation renversant les frontières musicales et géographiques entre l’orient et l’occident et rendant une fois pour toutes caduques les clivages et les cloisonnements de toute sorte dans un seul et même élan; une véritable invitation à un retour aux sources même de l’inspiration des chants de la Bible.

Une exaltation de l’âme en langue arabe, est portée cette fois par une orchestration symphonique classique occidentale d’Olivier Lliboutry, laissant au Nay, au luth et à la cythare la faveur d’illuminer l’espace de l’âme par les rayons sacrés de l’Orient.

À une époque où chacun multiplie les tentatives de fusion Orient/Occident, Sœur Marie convainc que, dans le chant, il n'est pas de mur.

La quête du beau universel ayant toujours été le pendant du sacré à fin d’édification, Sœur Marie, tels les inlassables bâtisseurs de cathédrale, nous convie à travers les traditions musicales d’Orient et d’Occident, à un voyage au cours duquel esprit et matière trouvent enfin leur point de rencontre .