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HYMNES À L'ESPERENCE
Un psaume de David, une exaltation de Marie de Nazareth, une poésie mystique de Rabiaa–l-Adawiyya la Martyre de la passion divine ou une offrande Lyrique de Tagor … , ces prières des Fils d’Abraham, sont choisis pour être Hymnes à l’Espérance et écho de l’Amour infini de Dieu et la soif de l’Homme de retrouver son Créateur et le sens de son existence
Juif, chrétien ou musulman ; religieux, croyant, ou antagoniste, l’Homme, un jour ou l’autre, sentira le besoin de s’abandonner dans les bras de Dieu, pour lui confier les secrets les plus profonds de son être.
Ces hymnes puisent leur essence dans les thèmes musicaux du chant traditionnel : Judaïque, Chrétien et Musulman ; de même que dans les plus subtiles des échelles de la musique sacrée classique.
Les instruments sont des participants actifs à ces prières ; tantôt ils accompagnent le chant, tantôt ils improvisent pour faire l’écho de la voix qui s’exalte sous toutes ses dimensions humaines, spirituelles et techniques d’un Magnificat (pl.1) ou d’une Hymne à la paix (pl.6).
Le Nay vient installer l’atmosphère nécessaire à la méditation et laisse au Piano toute la faveur et le talent d’improviser, de chercher les timbres adéquats et les échelles musicales universelles, pour faire résonner les offrandes lyriques de Tagor dans les coins les plus intimes du cœur humain (pl.3).
La Qanûn, le Ud , le Nay, le Rîq ou le Bandîr, qui sont les veines de la musique orientale, s’unissent aux cordes et au Piano, pour accompagner le chant, à l’unisson, se servant de toutes les richesses des fioritures et les subtilités des intervalles non tempérés.
Choristes et instrumentistes de l’Ensemble de la Paix, réunis de différentes religions et cultures, tantôt se croisent, tantôt s'unissent pour répéter inlassablement une prière d’un homme qui souffre, un autre qui attend ou tout simplement qui a envie d’avoir la Paix.
Avec ces hymnes, nous avons voulu que les frontières entre les hommes et les religions s’effondrent, et cèdent la place à la vraie religion qui relie, respecte et aime.
Pourrait-on, par la grâce du Beau et du Sacré, faire rencontrer l’Humain avec l’Humain pour y découvrir l’image du Divin et faire installer la paix
Sœur Marie Keyrouz
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